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Il est bien trop tôt pour se livrer à un exercice de prédiction, mais on peut faire quelques calculs élémentaires d’arithmétique électorale.

Les hausses de taux décidées du temps de Jean-Claude Trichet, sous la pression des faucons, ont constitué une grave erreur de politique monétaire.

Une fois que le marché aura revu à la hausse la prime de risque, le rebond macroéconomique entraînera une forte hausse des bénéfices par action.

La crise sanitaire et le retard vaccinal risquent de raviver un scepticisme anti-UE qui, ces dernières années, était sur le déclin.

Les choses ne vont pas si mal pour l’économie française. Les récentes enquêtes signalent une forte capacité de rebond.

Attention à l’impact potentiel du nouvel environnement reflationniste sur la valorisation des actifs risqués à court terme.

La situation présente réunit différentes forces de nature à pousser l’inflation vers le haut à court terme.

La contagion de la correction obligataire aux Etats-Unis embarrasse la BCE, à un bien mauvais moment pour la reprise.

Les banques centrales et leur gestion de l’inflation à venir, le duo de choc qui domine les marchés en ce début d’année.