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L’once de précieux métal s’est négociée en matinée jusqu’à 1690 dollars.

L’Indonésie, premier producteur de nickel au monde, «ressent, elle aussi, l’impact du Covid-19», ont expliqué les analystes d’ING Warren Patterson et Wenyu Yao.

Peu après 10h, le cours du métal jaune grimpe à 1689,31 dollars, un niveau plus vu depuis fin janvier 2013.

«L’argent a été tiré par l’or cette semaine, et a même obtenu des gains légèrement disproportionnés», a commenté Daniel Briesemann, pour Commerzbank.

«Les inquiétudes concernant l’impact du coronavirus sur l’économie mondiale assure un environnement favorable» pour le métal jaune, selon FXTM

Le sucre et l’or tirent leur épingle du jeu alors que les métaux de bases souffrent.

Les perspectives d’une moindre demande en provenance de la Chine plombent les cours.

Au total, la demande a atteint 4355,7 tonnes, soit 1% de moins qu’en 2018, après une légère augmentation l’année précédente.

Le cours du palladium marque une pause et celui du cacao atteint de nouveaux records.

La demande est «robuste» tandis que l’offre «reste contrainte» avec une augmentation peu probable à court terme, remarque UBS. Cuivre et café progressent aussi.