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Au vu de la qualité actuelle des actifs bancaires, on se demande si la prime de risque crédit est décente.

La hausse du prix d’une voiture d’occasion ne fait pas le printemps de l’inflation et les marchés le savent.

Et si les hausses de taux à venir étaient simplement affaire d’orchestration entre banques centrales?

Le 60/40 n’est pas mort, car le pouvoir de diversification des obligations subsiste et protège le capital.

Anxiété à court terme, hausses de taux à 2 ans, dollar, yen et franc suisse restent de bons refuges.

La demande pour les emprunts d’Etat américains est vive, notamment chez les investisseurs étrangers.

La période actuelle est périlleuse et difficile pour les investisseurs, mais leur pire ennemi est l’inflation.

Certains émergents comme la Chine et le Mexique paraissent attrayants sur le long terme.

Comprendre la politique monétaire de la Fed nécessite une certaine réflexion, indispensable au vu de l’arrogance du marché.

La hausse des taux aux Etats-Unis ne fait que refléter la réussite du tandem Yellen-Powell.