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La situation boursière est fragile: la probabilité de nouvelles turbulences n’est pas encore écartée dans le secteur bancaire. Par ailleurs, les risques de récession restent élevés.

Les évolutions socio-démographiques ont un impact majeur et la numérisation change considérablement le tableau.

La saison de publication des résultats a bien démarré. Jusqu’ici, de nombreuses entreprises ont dépassé les attentes. La prudence reste toutefois de mise. Les carnets de commande se remplissent plus lentement et les perspectives s’assombrissent, sauf en Chine.

Le groupe Raiffeisen a enregistré un très bon résultat en 2022, avec un bénéfice du groupe s’élevant à 1,18 milliard de francs, poursuivant ainsi le succès de ces dernières années.

Les investisseurs sont tiraillés d’une part par les inquiétudes relatives aux taux d’intérêt et à l’inflation, et de l’autre, par l’appât du rendement. Les valeurs refuges et les instruments à risque, tels que le bitcoin, sont donc prisés l’une comme l’autre.

La société coopérative recommande à son réseau de filiales de relever les taux d’intérêts des comptes pour particuliers et entreprises à partir de début mai.

La banque se voit attribuer un «Oscar» des produits structurés dans la catégorie «Meilleur produit d'actions» et un second dans la classe «Top Service».

En comparaison avec l’année précédente, les maisons individuelles dans la Suisse orientale (+14,1%) et en Suisse centrale (+14,7%) ont enregistré les plus fortes hausses de prix en l’espace d’un an.

Les déboires financiers du secteur bancaire américain et le sauvetage du Credit Suisse n’ont pas nécessairement des répercussions négatives pour l’économie, surtout en Europe.

Ces mesures doivent permettre au numéro trois bancaire helvétique, classé d’importance systémique en Suisse, d’assurer la continuité des opérations de paiement en cas de risque d’insolvabilité.