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Nommé le 3 novembre dernier en vue de l’Assemblée générale extraordinaire, il évoque des raisons de santé.

Bien que les marchés des actions s’envolent, les investisseurs devraient rester prudents, malgré, ou justement à cause, des nouveaux records, car il n’y a aucun argument plaidant pour un rallye de fin d’année.

Tout ce qui était autrefois considéré comme un péché ne l’est plus aujourd’hui. La dette publique qui échappe de plus en plus à tout contrôle en est un parfait exemple.

Les prix des producteurs ne cessent d’augmenter partout dans le monde. La situation est de plus en plus difficile, pour les entreprises et les consommateurs. Conséquence: une pression sur les marges et des prix à la consommation plus élevés.

A travers le monde, les entreprises industrielles font état d’un grain de sable dans l’engrenage.

Tout se passe comme prévu. Les résultats des entreprises sont bons. La Réserve fédérale américaine tente une première étape vers une normalisation de la politique monétaire. Les investisseurs craignent de rater le coche.

Les engins souffleurs de feuilles mortes, à essence et horriblement bruyants, seront-ils enfin interdits lors de la conférence sur le climat à Glasgow afin de rappeler à tous l’existence du balai? Il y a peu d’espoir.

Thomas A. Müller sera proposé en tant que nouveau président. Sandra Lathion et Dr Martin Sieg Castagnola seront proposés à la nomination comme nouveaux membres du Conseil d’administration.

Le nouveau fonds permet aux investisseurs de participer à l’évolution du prix de l’or en tenant compte de facteurs sociaux et environnementaux.

En octobre, l'indice PMI PME de Raiffeisen a fortement régressé, passant de 63,9 à 51,7 points.