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Sur les trois premiers mois de l’année, les chiffres d’affaires et les commandes ont baissé de respectivement 2 et 6% en comparaison annuelle.

Le nombre de places de travail en Suisse a au total accusé un recul de 0,1% (désaisonnalisé), mettant ainsi un terme à la hausse ininterrompue depuis dix ans.

Une réduction des coûts à tous les niveaux a permis aux établissements d’engranger un gain net de 28’200 francs après une perte de 2 millions de francs en 2018.

La Suisse accueillera cette année beaucoup plus de touristes locaux. Mais leurs habitudes de voyages sont bien différentes des touristes étrangers.

En termes désaisonnalisés, les exportations ont dégringolé de 11,7%, alors que les importations ont chuté de 21,9%. Il s’agit de la plus forte dégradation mensuelle depuis des décennies.

La croissance helvétique a atteint 9% en 2019, soit le taux le plus faible depuis 2003, à l'exception bien entendu de l'année 2009 de la crise financière.

Les Grisons, la Suisse orientale, le Valais et le Tessin sont moins dépendants du tourisme étranger et font partie, ces dernières années, des destinations les plus prisées des Suisses.

Selon la Fondation suisse de l’énergie (SES), il est urgent d’agir si l’on veut atteindre l’objectif de réduire à zéro les émissions de CO₂ d’ici 2050.

L’association Auto-Suisse chiffre la chute des ventes à 23% sur l’ensemble de l’année.

L’indice d’activité manufacturière approche désormais de son plus bas de 2009, en pleine crise financière. Celui pour la construction a déjà largement crevé ce plancher.