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Le réassureur zurichois a fixé le prix par action à 88,66 dollars.

Les nouvelles obligations seront rémunérées à un taux de 3,25% par an avec une échéance fixée à 2024. 

Les discussions avaient pour objet une éventuelle prise de participations minoritaire du groupe nippon dans le réassureur.

L’intérêt du groupe nippon pour Swiss Re a baissé ces dernières semaines. Le CFO John Dacey a pourtant assuré que les pourparlers étaient toujours en cours en vue d’une opportunité de collaboration.

Le résultat trimestriel est marqué par des effets de marchés et comptables qui masquent une bonne performance des divisions opérationnelles, selon Bordier.

Le résultat du premier partiel a été fortement affecté par un effet comptable lié à une modification de la norme comptable US-GAAP, explique le réassureur dirigé par Christian Mumenthaler.

L’extension en Afrique du Sud des activités du groupe dirigé par Christian Mumenthaler, constitue une base pour atteindre l’ensemble du continent africain.

«Dès que les voitures autonomes seront disponibles, plus personne n’achètera des automobiles dans les grandes villes», signale le président du réassureur.

Le réassureur détient un ratio de Swiss Solvency Test (SST) de 269% en 2018. Le groupe nippon devrait limiter ses parts à 10%. Le titre chute.

Le réassureur avait confirmé en février être en contact avec le groupe japonais. Bloomberg évoque maintenant une prise de participation de 25%.