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La Première ministre britannique a reçu une fin de non-recevoir à Berlin lorsqu’Angela Merkel lui a confirmé qu’il n’était «pas possible de changer l’accord».

La Première ministre britannique réagit aux profondes divisions des parlementaires.

Les députés pourraient avoir le dernier mot sur l’éventuelle activation d’une disposition évitant le rétablissement de contrôles frontaliers sur l’île d’Irlande.

Selon ces eurosceptiques, voire europhobes, cet accord est synonyme d’obligation de continuer à appliquer certaines réglementations dictées par Bruxelles.

Theresa May a annoncé qu’elle se rendrait à Bruxelles dans la semaine pour rencontrer notamment le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker.

«Je crois, avec chaque fibre de mon être, que le chemin que j’ai suivi est le meilleur pour mon pays», a déclaré la Première ministre britannique.

La Première ministre britannique fait planer la menace d’un retour en arrière sur le Brexit si elle n’obtient pas de soutien.

«Il y aura un sommet extraordinaire pour finaliser et formaliser l’accord du Brexit. Il se tiendra le dimanche 25 novembre», a affirmé Donald Tusk.

La première ministre britannique a qualifié d’«immensément difficiles» ces discussions, et prévenu qu’elle n’accepterait pas un accord «à n’importe quel prix».