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Avant même d’arriver à Osaka, le président américain a vertement critiqué le Japon, l’Allemagne, l’Inde, sans oublier la Chine.

Le président américain a assuré ne pas espérer un tel conflit, mais ces déclarations sonnent comme un nouvel avertissement à l’Iran.

Les mesures «empêcheront l’ayatollah Ali Khamenei, son équipe et d’autres qui lui sont étroitement liés d’avoir accès à des ressources financières essentielles», indique le président américain.

«C’est tellement injuste d’attaquer les Banques centrales, quand il s’agit de leur indépendance», a déclaré le patron de l’exécutif européen.

Fidèle à son style provocateur, le président américain, en quête d’un second mandat après sa victoire-surprise de 2016, a galvanisé les quelque 20.000 supporteurs venus l’écouter à Orlando.

Donald Trump a révélé dans un tweet avoir eu une «très bonne conversation téléphonique avec le président chinois Xi» Jinping.

Le président US a notamment accusé dimanche le pays voisin d’«abuser» des Etats-Unis «depuis des décennies» et de beaucoup «prendre sans jamais rien donner en échange».

Le gouvernement chinois estime que les Etats-Unis font preuve de constance, voir même d’obsession, en répétant que la guerre commerciale aurait un effet «dévastateur» sur l’économie chinoise.

Le président américain annonce l’imposition à partir du 10 juin de tarifs douaniers sur les biens mexicains en rétorsion au problème d’immigration clandestine.

Selon le New York Times, des salariés de la banque ont recommandé de signaler au Trésor US de multiples transactions impliquant des entités juridiques contrôlées par Trump et son gendre.