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Après quatre séances de hausse pour le Brent et trois séances de gains pour le WTI, les cours reprenaient leur souffle en l’absence de nouvelles informations.

Le président de la banque centrale américaine a également confirmé que la Fed allait poursuivre ses hausses de taux graduelles.

L’indice s’est établi à 130,8 points en février. Il faut remonter à novembre 2000 pour trouver un niveau plus élevé, précise Lynn Franco, directrice des indicateurs au Conference Board.

Les facteurs désinflationnistes de long terme, comme la démographie, vont toutefois continuer de peser sur les attentes pendant encore longtemps.

L’indice vedette Dow Jones Industrial Average a progressé de 1,58%. Le Nasdaq a avancé de 1,15%, et le S&P 500 a pris 1,18%.

Randal Quarles estime que l’étroitesse du marché de l’emploi va finir par se refléter dans une hausse des salaires et les prix.

Après un déficit de 666 milliards de dollars en 2017 (3,5% du PIB), le pays devrait accuser un déficit de 873 milliards cette année et 984 milliards en 2019 (4,7% du PIB).

L'inflation de base est inchangée depuis un an et la hausse des salaires reste inférieure à celle du PIB. Alors à qui la faute?

Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en avril, a pris 78 cents pour clôturer à 63,55 dollars sur le New York Mercantile Exchange.

La Réserve fédérale américaine, dirigée par Jérome Powell, se montre rassurante sur les risques de volatilité des marchés.