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L’assureur a conclu des accords d’extraction de carbone avec plusieurs fournisseurs, auxquels il a versé des avances afin de les aider à «développer, à mettre à l’échelle et à commercialiser leurs technologies innovantes».

Douze mois auparavant, il avait empoché 8,8 millions. L’enveloppe destinée à l’ensemble de la direction générale de l’assureur zurichois a en revanche diminué.

Le bénéfice net est ressorti à 5,2 milliards de dollars, en très forte hausse de 36% comparé à 2020. Les actionnaires devraient pouvoir bénéficier d’un dividende relevé.

L’obligation avait été émise en 2016 avec un coupon de 4,75%.

A l’issue de l’opération, 1,2 milliard de dollars de capital seront libérés, permettant de renforcer de 11 points de pourcentage le ratio de solvabilité de l’entreprise.

Des activités d’assurance-vie pourraient être cédées au profit de polices basées sur des fonds.

La start-up balte est spécialisée dans l’automatisation des services de messagerie.

Le groupe se voit par ailleurs bien engagé sur la voie de la concrétisation de ses objectifs à l’horizon 2022.

La direction s’est déclarée «confiante» d’atteindre ses objectifs pour l’année prochaine.

«Ces décisions ont été prises parce que ces produits ne soutiennent plus la stratégie à long terme de Zurich», a indiqué un porte-parole du groupe.