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Le géant de la Silicon Valley a déclaré que certains aspects de la structure de l’autorité américaine de la concurrence violaient la Constitution des États-Unis, ce qui rendait illégale la procédure engagée contre Meta.

Un revers pour le géant des réseaux sociaux Meta qui mise sur ses abonnements payants pour se mettre en conformité avec les réglementations sur l’usage des données personnelles.

Le groupe de réseaux sociaux multiplie son bénéfice net trimestriel par plus de 2 à 11,58 milliards de dollars.

Selon les spécialistes de la tech, le Vision Pro pourrait porter un coup fatal au «métavers», concept nébuleux d’un internet immersif en 3D porté par son rival en mains de Mark Zuckerberg.

Cette sanction, la plus élevée infligée par un régulateur de la protection des données en Europe a indiqué la DPC à l’AFP, est le résultat d’une enquête lancée en 2020.

La Commission irlandaise pour la protection des données a précisé que Meta se fondait sur une base juridique erronée «pour son traitement des données à caractère personnel à des fins de publicité» ciblée.

«Aujourd’hui, je partage certains des changements les plus difficiles que nous ayons faits dans l’histoire de Meta», a annoncé Mark Zuckerberg dans un message adressé aux salariés.

«Je dois dire que nos produits ont l’air de s’en sortir mieux que certains commentaires ne le suggèrent», a tenté de tempérer Mark Zuckerberg.

Le groupe californien a vu son bénéfice net fondre à 4,4 milliards de dollars (à peu près autant en francs) au troisième trimestre (-52% sur un an) et son chiffre d’affaires baisser de 4%, à 27,7 milliards de dollars.

Un jury texan a déterminé que Meta a copié des brevets de Voxer dans ses fonctionnalités de diffusion en direct, sur Facebook Live et Instagram Live.