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En tout, 74 emplois sont menacés et jusqu’à 63 personnes pourraient être licenciées, a indiqué une porte-parole de la caisse maladie bâloise.

«Nous faisons face à des défis économiques qui ne sont pas propres à notre activité ou notre entreprise», écrit le patron de KPMG Etats-Unis, Paul Knopp, dans un message aux employés.

L’entreprise, qui employait à la fin de l’année dernière plus de 82’000 personnes, a pris cette décision à cause des conditions économiques défavorables.

Environ 76% des licenciements ont été prononcés dans le cadre d’une réduction d’effectifs ou d’une restructuration, contre 67% en 2021.

«Aujourd’hui, je partage certains des changements les plus difficiles que nous ayons faits dans l’histoire de Meta», a annoncé Mark Zuckerberg dans un message adressé aux salariés.

«Je dois dire que nos produits ont l’air de s’en sortir mieux que certains commentaires ne le suggèrent», a tenté de tempérer Mark Zuckerberg.

Le réseau social fraîchement racheté par Elon Musk a parallèlement annoncé la fermeture temporaire de ses bureaux.

«Un certain nombre d’individus qui ont réalisé des contributions notables vont être affectés, mais cette action est nécessaire pour assurer le succès de l’entreprise à l’avenir», déclare la société aux salariés.

Cette restructuration fait suite à la suspension par l’Allemagne du projet de gazoduc Nord Stream 2, dont la réalisation est terminée mais dont la mise est service n’est pas encore effective.

L’établissement avait déjà congédié un peu moins de 400 personnes en septembre.