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Le taux reste entre 1,5 et 1,75%. La Fed estime que cette politique monétaire doit notamment permettre à l’inflation de revenir à son taux cible de 2%.

Les acteurs sur les marchés s’attendent à plus de 87% à ce que la Réserve fédérale adopte un statu quo. Jerome Powell avait dit en décembre qu’il voulait voir l’inflation «persister» avant de relever les taux.

La BoJ prévoit désormais une croissance de 0,8% au Japon pour l’exercice 2019/20, contre 0,6% précédemment.

L’afflux de liquidités déversées sur les marchés depuis 2015 mérite d’être «soigneusement surveillé», indique le compte-rendu de la dernière réunion de la BCE.

«La BNS n’a aucune marge de manoeuvre en matière de politique monétaire pour se défaire de l’orientation actuelle de la BCE ou de la Fed», selon le chef économiste de Swiss Life, Marc Brütsch.

La BoJ a pris depuis 2013 maintes dispositions visant à atteindre un objectif d’inflation de 2%, lequel devait initialement être atteint en 2 ans, mais semble encore bien lointain.

«Mon ambition est d’être une chouette, que l’on associe souvent avec une certaine sagesse», déclare la présidente de la BCE dans son premier grand oral.

«Pour baisser les taux désormais, il faut des mesures compensatoires pour ne pas peser sur la rentabilité des banques», signale le chef économiste Patrice Gautry.

Benoît Cœuré prendra ses nouvelles fonctions le 15 janvier 2020 pour un mandat de cinq ans.