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«L’économie norvégienne a progressé dans un certain nombre de domaines à un rythme plus rapide que ce que beaucoup craignaient», a déclaré la directrice générale de la banque, Kjerstin Braathen.

Pour Patrice Caine, ces résultats «illustrent la résilience du groupe face à la crise», notamment grâce à sa dualité, civile et militaire.

A fin septembre, les actifs sous gestion de l’unité Investment Management du groupe dirigé par Peter Sanderson s’élevaient à 33,9 milliards de francs, contre 35,5 milliards trois mois plus tôt.

La société alimentaire a amélioré sa croissance organique au troisième trimestre puisqu’elle atteint 4,9%. Sur les neuf premiers mois de l’année, elle s’établit à 3,5%.

La banque aux trois clés a vu son produit d’exploitation bondir de 26,1% sur un an à 8,9 milliards de dollars entre juillet et fin septembre.

A la faveur de cette performance, le fabricant valdo-californien de périphériques informatiques a revu drastiquement à la hausse ses objectifs.

Le bénéfice opérationnel (Ebit) non IFRS a pris 5% à 83,5 millions de dollars, et la marge afférente s’est étoffée de 5 points à 39,1%.

«Nous avons dégagé une performance trimestrielle solide dans la mesure où les marchés sont restés actifs pendant les mois d’été», remarque le CEO James Gorman.

Les recettes liées aux marchés ont bondi de 30% chez Goldman Sachs et JPMorgan Chase et de 16% chez Citigroup. BofA bénéfice également du phénomène.

La banque américaine voit son bénéfice net chuter de moitié à 2 milliards de dollars au troisième trimestre.