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Le dynamisme des activités de conseil en fusions-acquisitions a permis à la banque d’affaires dirigée par Kenneth Jacobs de plus que doubler son bénéfice net l’an dernier.

Le bénéfice net de l’an dernier dépasse les 4 milliards d’euros, en hausse de 6,1%. Les analystes tablaient sur 3,95 milliards.

L'établissement de Bernhard Hodler va proposer un dividende ordinaire de 1,50 franc par action pour l'exercice 2018, en hausse de 7%.

Le bénéfice net s’est élevé à 15 milliards de couronnes (2,27 milliards de francs) sur l’ensemble de l’année, soit une chute de -28% par rapport à 2017.

Le résultat net atteint 1,98 milliard d’euros (2,25 milliards de francs) contre près de 1,7 milliard d’euros en 2017.

«Nous sommes satisfaits de cette performance commerciale de +8,9%, réalisée en dépit des incertitudes économiques», a commenté le CEO, Frank Rehfeld.

Les actionnaires se verront offrir un dividende au titre de 2018 relevé à 8,70 francs par bon de jouissance. L'action termine en hausse de 2,54%.

«La nouvelle augmentation des bénéfices est un signal clair pour moi que notre modèle d’affaires a fait ses preuves», a déclaré Hanspeter Rüfenacht, directeur général.

Au total, l’investissement de la banque publique, dirigée par Nicolas Dufourcq, s’est élevé à 2 milliards d’euros en 2018, dont près de la moitié en souscriptions dans des fonds partenaires.

Prudente pour la suite, la direction a émis des prévisions mesurées pour l’exercice 2019.