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Le bénéfice net s’est établi à 12,6 milliards de dollars. Cependant, tant les recettes que la rentabilité sont demeurées en deçà des attentes.

Après sept années passées à la tête du groupe, Richard Ridinger quittera l’entreprise en mars et sera remplacé par Marc Funk. L'annonce a apparemment déplu aux investisseurs.

L’augmentation du bénéfice s’explique en particulier par le poids moindre des éléments exceptionnels par rapport à 2017.

Au second semestre, les conditions du marché difficiles ont réduit la performance opérationnelle du groupe, dirigé par André Rüegg.

L’établissement proposera le versement d’un dividende de 220 francs par action, en hausse de 10% par rapport à celui distribué l’année précédente.

Le président de Bankia, José Ignacio Goirigolzarri, a affirmé que la fusion avec BMN a permis une croissance de la base de clientèle.

Cet exercice positif permettra de distribuer un dividende défiscalisé de 5,25 francs par part.

L’entreprise zougoise a indiqué tabler sur une perte nette d’environ 17 millions de francs sur l’exercice écoulé, après un bénéfice de 32 millions un an plus tôt.

Le géant des arômes et parfums a certes amélioré sa croissance et sa rentabilité opérationnelle en 2018 mais a déçu au niveau des marges et du bénéfice net.

La direction souligne l’amorce de rétablissement opérée par les marchés financiers en début d’année, ainsi qu’une recrudescence des fusions et acquisitions dans le secteur pharmaceutique.