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Etats-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie, Japon et Canada demandent une augmentation des livraisons.

Le groupe, exposé à hauteur de 650 millions de dollars, indique mettre fin à ses activités en Russie «conformément aux exigences réglementaires et de licence».

Les positions nettes de crédit que détenait la banque zurichoise fin décembre dernier vis-à-vis de la Russie s’élevaient à 848 millions de francs.

«Les besoins de financement sont importants, urgents et pourraient augmenter considérablement à mesure que la guerre se poursuit», a réagi la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva.

«Les Emirats arabes unis estiment essentielle la stabilité des marchés énergétiques pour l’économie mondiale», a indiqué l’ambassadeur à Washington Youssef Al Otaïba.

Situation sur le terrain, réactions internationales, sanctions: le point sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Société Générale fait partie des entreprises françaises les plus impliquées en Russie avec 18,6 milliards d’euros dans le pays, principalement dans Rosbank, soit une «exposition limitée à 1,7% de l’exposition totale du groupe».

Seul un prix de 200 dollars le baril pourrait détruire la demande dans une mesure suffisante pour parvenir à une éviction totale du brut russe du marché pétrolier mondial.

Les organisateurs du Forum économique mondial de Davos «se conforment aux sanctions internationales qui évoluent», suite à l’offensive russe en Ukraine.

Les exportateurs d’hydrocarbures et les pays bien gérés sont toutefois mieux armés que les autres face aux sanctions.