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D’après le Wall Street Journal, Elliott a investi plus de 2,5 milliards de dollars dans le groupe japonais.

Michael Ronen, ancien banquier de Goldman Sachs, avait rejoint SoftBank Group en 2017 et pilotait les investissements aux Etats-Unis du Vision Fund.

Masayoshi Son n’est pas, dit-on, homme de détail. Quelques slides suffiraient à le convaincre de signer parmi les plus gros chèques de l’histoire.

Entre avril et septembre, SoftBank Group a dégagé un bénéfice net de 421,55 milliards de yens, mais a subi une perte d’exploitation de 15,5 milliards de yens.

SoftBank Group a annoncé une injection de fonds supplémentaires de 5 milliards de dollars dans WeWork ainsi qu’une offre publique d’achat sur les titres qu’il ne possède pas encore.

L’engagement de SoftBank pourrait se faire sous forme d’obligations et d’augmentation de sa participation.

La fintech Wirecard va émettre un emprunt convertible d’une durée de 5 ans pour un montant nominal de 900 millions d’euros.

SoftBank Group a dégagé un résultat net de 1’121,7 milliards de yens pour les mois d’avril juin, du jamais vu pour une firme japonaise en trois mois.

SoftBank Group y contribuera à hauteur de 38 milliards de dollars, les quelque 70 milliards restants venant de divers participants dont Apple, Microsoft ou encore Foxconn.

SoftBank Group a dégagé un résultat net de 1411 milliards de yens (12,9 milliards de francs) pour les mois d’avril 2018 à mars 2019.