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A la faveur d’indicateurs macro-économiques relativement stables, le taux reste ainsi au niveau annoncé à l’automne dernier, loin du pic atteint juste après le lancement de l’offensive en Ukraine.

Milan (+0,81%), Paris (+0,27%) et Francfort (+0,18%) ont progressé, tandis que Londres (-0,32%) et Madrid (-0,23%) ont perdu du terrain. A Zurich, le SMI a cédé 0,35%.

Paris a terminé en légère baisse de 0,09% et Londres de 0,05%, Francfort a lâché 0,20%. A Zurich, le SMI a reculé de 1,05%.

Londres termine en hausse de 0,37%, Francfort de 0,18%, Paris de 0,11%, Milan de 0,67% et Madrid de 0,17%. A Zurich, le SMI progresse de 0,47%.

Londres, soutenu par les matières premières, a mieux résisté (-0,10%), alors que Paris, plombé par le luxe, a perdu 0,96%. Francfort a cédé 0,54% et Milan 0,78%. A Zurich, le SMI a fléchi de 0,25%.

«Rien ne prouve clairement que l’inflation sous-jacente ait atteint un pic», met en garde la présidente de la Banque centrale européenne.

La Bourse de Paris a grimpé de 1,87%, Londres a progressé de 1,56% et Francfort de 1,25%. En Suisse, le SMI a pris 1,3%.

Après une séance assez volatile, les indices finissent en hausse: de 0,55% à Paris, 0,59% à Londres, 1,21% à Francfort et 2,01% à Milan, tirée par les banques. Zurich monte de 0,70%.

«Nous continuerons d’avancer - avec détermination et sans découragement - jusqu’à ce que nous voyions l’inflation revenir à notre cible à moyen terme de 2% en temps opportun», a déclaré la présidente de l’institution.

Paris et Francfort ont marqué un net recul de 1,54%. Londres a baissé de 1,01%, Milan a lâché 1,97% et Madrid 1,28%. A Zurich, le SMI a cédé 0,57%.