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Paris a été particulièrement pénalisé par ses poids lourds du luxe, très exposés à la Chine, et a cédé 0,59%. Londres a reculé de 0,18%, Milan de 0,16%, tandis que Francfort a fini quasi stable (+0,02%).

Bien que les taux directeurs soient déjà au plus haut depuis près de 15 ans, Joachim Nagel indique que «l’inflation est également extrêmement élevée» et «nous n’avons pas encore fini».

Paris (+0,11%) et Milan (+0,28%) ont légèrement progressé, tandis que Francfort a terminé quasi stable (-0,05%) dans des volumes d’échanges réduits. A Zurich, le SMI a pris 0,35%.

Les indices ont rebondi notablement, compensant leurs pertes de la veille: Paris a repris 1,26%, Francfort 1,44% et Londres 0,98%. A Zurich, le SMI a gagné 0,85%.

Londres abandonne 1,10%, Paris 0,85% et Milan 0,61%, toutes trois étant désormais retombées proches de leur plus bas niveau depuis un mois. Francfort cède 0,51%. A Zurich, le SMI fléchit de 0,43%.

«Nous ne faisons pas de pause» dans la lutte contre l’inflation, assure la présidente Lagarde après l’annonce d’une hausse des taux de 25 points de base, tout comme la Fed hier soir.

Toujours déterminée à juguler l’inflation malgré des signes d’essoufflement de l’économie et en dépit de la récente crise bancaire, la Réserve fédérale hisse son principal taux directeur de 25 points de base.

Les places rebondissent au lendemain d’une séance nettement dans le rouge. Paris prend 0,28%, Francfort 0,56%, Londres 0,20% et Milan 0,77%. A Zurich, le SMI avance de 0,73%.

Le président Powell le répète depuis des mois, ramener l’inflation vers sa cible de 2% sera un effort long et difficile mais nécessaire. Il y a donc peu de chance de voir le FOMC envisager une pause sur les taux dès ce soir.

Confrontées à plusieurs indicateurs contradictoires pour la politique monétaire, les places ont abandonné 1,45% à Paris, 1,23% à Francfort et 1,24% à Londres. A Zurich, le SMI a cédé 0,12%.