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La vigueur observée dans les récents chiffres du PIB, conjuguée au mandat de la Fed, donne à penser que les taux pourraient demeurer en pause jusqu'à ce que les conditions suggèrent le contraire.

Pour rendre un portefeuille taux fixes ESG compatible, il ne faut pas seulement exclure les indésirables, mais également inclure les bons élèves.

Le Brexit semble s’approcher d’une étape décisive. Les taux de défaut devraient rester bas, grâce à la vigueur du secteur bancaire britannique.

Les premiers résultats trimestriels des banques américaines sont mitigés, mais le consommateur et, par conséquent l’économie, se portent bien.

Les indicateurs économiques dictent la prudence, mais les actifs «sans risque» sont exposés à une forte volatilité. Comment se couvrir correctement?

La gestion passive paraît impuissante face aux défis que pose l’intégration des critères ESG dans la gestion obligataire.

Le système des taux par paliers adopté par la BCE en septembre dernier implique un assouplissement monétaire plus massif.

En investissement durable, l’intégration des bons élèves est préférable à l’exclusion sectorielle, à condition d’éviter les arguments fumeux.

Le marché du haut rendement bénéficie d’un environnement technique favorable et peut encore aisément absorber quelques anges déchus.

Sur le marché obligataire, le coût du crédit est au plus bas, mais le risque que les rendements s’écartent augmente.