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La production industrielle a accentué son recul à la fin de l’année dernière.

Andreas Beier, Matthias Luck et Anke Werdecker, viendront grossir les rangs du bureau francfortois. Celui de Kiel verra arriver Klaus-Erik Treiber et Hanovre Lars Jendrtzok.

Cette statistique déçoit les attentes des analystes, qui tablaient sur un rebond de 0,30%, et elle s’accompagne d’une révision en baisse du chiffre d’octobre.

L’homme âgé de 45 ans aurait livré à l’été 2012 les données de 233 clients au moins aux autorités allemandes.

Cette baisse, sur fond d’un net recul (-11,6%) des commandes en provenance de la zone euro, est plus forte qu’attendu par les économistes interrogés, qui tablaient sur un recul de 0,1%.

Le baromètre GfK devrait ressortir à 10,4 points en janvier, identique au mois de décembre, qui avait subi une légère dégradation par rapport à novembre.

Selon Robert Lind, de Capital Group, un nouveau souffle politique encouragerait la transformation du modèle économique allemand.

En réaction à l’appétit chinois, le seuil permettant de bloquer des acquisitions étrangères dans certaines entreprises est ramené à 10% du capital, contre 25% depuis 2004.

Les biens immobiliers se trouvent à proximité d’autres bâtiments détenus par Peach Property, ce qui permettra de générer des synergies dans la gestion.

«L’inquiétude monte parmi les milieux d’affaires», résume Clemens Fuest, le président de l’institut Ifo.