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«La nature du débat qui s'instaurera va beaucoup dépendre du résultat de la négociation bilatérale entre l'UE et le Royaume-Uni», a declaré l'OMC.

«Ma conviction est qu'il faut un accord. Je ne suis pas encore sûr que nous l'obtiendrons. Il est difficile, mais possible», a assuré Michel Barnier.

L'option d'étendre «de quelques mois» la période de transition a «émergé», a expliqué Theresa May.. Cette éventualité est accueillie avec circonspection  du côté des  Etats-Membres.      

«Le temps est venu» pour un accord sur les conditions du divorce entre Londres et l'UE, selon Theresa May.

La Première ministre est attendue à Bruxelles pour une intervention devant les dirigeants de l’UE. L’espoir initial d’un dénouement s’est évanoui.

«Il reste plusieurs sujets ouverts, dont celui de l'Irlande. Il faut plus de temps pour trouver cet accord global», a annoncé le négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier.

Cette décision «fait partie de la stratégie de la société dans le cadre du Brexit», explique la banque américaine Wells Fargo, qui ajoute vouloir soutenir les besoins de ses clients.

L'Union européenne croit toujours possible de parvenir à un accord négocié avec Londres pour la sortie du Royaume-Uni mais se prépare aussi à un échec.

Dans un climat d’incertitude, les groupes financiers doivent se préparer à l’éventualité d’une sortie désordonnée du Royaume-Uni de l’UE.

«Nous anticipons une croissance entre 1% et 1,5% mais si nous obtenons un mauvais Brexit, elle pourrait être à zéro ou négative», selon le directeur général de la RBS, Ross McEwan.