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Graphique de la semaine. Les USA s’accrochent au marché libre, même pour les salariés. L’Europe plébiscite le chômage partiel. Est-ce sage?

Paris, Francfort et Londres grimpent de plus de 3% à la mi-journée. Milan et Madrid suivent de près.

La chute est spectaculaire sur les quatre principaux marchés, avec un effondrement de 85,4% en Italie, de 72,2% en France et de 69,3% en Espagne.

Paris a clôturé quasiment stable, Francfort en faible hausse, Londres en net recul et Milan en légère hausse. Seul Zurich a affiché une nette avancée.

Toutes les places européennes ont terminé la séance de ce mercredi sur une perte de plus de 3%, à l’exception de Zurich.

Paris s’est ainsi adjugé 0,38% et Madrid 0,54%. Francfort est monté de 1,34% et Zurich de 0,91%.

Le vice-président letton de la Commission Valdis Dombrovski évoque des emprunts garantis par les Etats membres.

Le ralentissement de sa progression en Europe et aux Etats-Unis ne doit pas provoquer de relâchement incontrôlé, a prévenu l’OMS.

Le ministre français des Finances a lui salué un «excellent accord», incluant «500 milliards d’euros disponibles immédiatement» et «un fonds de relance à venir».

Une caractéristique essentielle de l’immobilier est que les investisseurs peuvent se positionner de manière à posséder un avantage en matière d’information.