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Les Bourses européennes ont terminé dans le rouge vendredi, de Paris (-4,23%) à Londres (-5,25%) en passant par Francfort (-3,68%), Milan (-3,15%) et Madrid (-3,63%).

Moody’s a dégradé jeudi sa perspective pour six secteurs bancaires en zone euro: France, Italie, Espagne, Danemark, Pays-Bas et Belgique.

Le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte, «n’accepte pas» le projet de conclusions préparé en amont du sommet. Il réclame une riposte économique «forte» de la part des 27.

Aidés par les Etats et les banques centrales, Paris clôture en hausse de 2,51%, Francfort de 1,28% et Londres de 2,24%. Le SMI grimpe de 2,39%.

Paris a clôturé en hausse de 4,47%, Londres de 4,45% et Francfort de 1,79%. A Zurich, le SMI a encore gagné 2,93%.

L’Autorité bancaire européenne souhaite éviter que les emprunteurs temporairement fragilisés par la crise du COVID-19 ne soient automatiquement considérés comme défaillants.

Paris a terminé sur un rebond de 8,39%, Francfort de 10,11% et Londres de 9,05%.

Les Bourses européennes ont poursuivi leur rebond de la veille.

Les quatre principaux marchés, Allemagne (-10,8%), Italie (-8,8%), Espagne (-6%) et France (-2,7%) étaient dans le rouge.

La Fed, la BCE, ainsi que les banques centrales du Japon, du Canada et d’Angleterre, tout comme la BNS vont augmenter l’approvisionnement des marchés financiers en liquidités par les accords permanents de swap en dollars.