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Il s’agit de «soutenir les objectifs» de stabilité des prix et la promotion du plein emploi de la Fed.

Le numéro deux de la Réserve fédérale abonde dans le sens de Jerome Powell qui avait cité des «facteurs temporaires» pour expliquer que l’inflation soit à 1,5% sur un an en mars.

«C’est peut-être le moment pour nous d’envisager de baisser les taux. On ne voit pas du tout d’inflation dans cette économie», a affirmé le vice-président américain.

Assistons-nous à une pause dans le processus de normalisation monétaire ou à un revirement?

Après le retrait la semaine dernière de Herman Cain, le président des Etats-Unis a annoncé celui de Stephen Moore qu’il avait pressenti pour siéger au poste de gouverneur.

La Fed a laissé la porte ouverte à de futurs ajustements en fonction de l'évolution économique et financière mondiale et des pressions inflationnistes.

«La croissance est un peu plus forte, l’inflation un peu plus faible», a résumé le président Jerome Powell.

Le maintien d’une inflation modérée et la stabilisation de l’économie américaine est le scénario à privilégier.

Une majorité de régions font toujours état de difficultés à recruter du personnel qualifié, remarque le rapport de conjoncture de la Réserve fédérale.

Le membre votant du Comité monétaire de la Fed estime que cela aiderait à soutenir les perspectives d’inflation et à s’assurer qu’elles sont durables.