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Les 18 plus grandes banques, dont le holding américain de Credit Suisse, «devraient être bien positionnées pour soutenir l’économie même en cas de choc sévère», estime la Fed.

Le membre «dissident» du FOMC estime qu’il aurait fallu baisser les taux pour «s’assurer contre le ralentissement» conjoncturel.

Le second semestre s'annonce nettement meilleur que le premier pour les amateurs de métaux monétaires.

Si les actions bellicistes des États-Unis devaient s'intensifier, nous pourrions voir la Fed assouplir sa politique dès l'été prochain.

«Les incertitudes entourant les perspectives se sont clairement accrues depuis notre dernière réunion», résume Jerome Powell à l’issue de deux jours de réunion du comité monétaire.

Si un quart des investisseurs croient à une baisse des taux dès aujourd'hui, ils sont une écrasante majorité à la prévoir dès l’été.

Suite à l’élargissement des fronts commerciaux ouverts par l’administration Trump, la Réserve fédérale pourrait agir dès sa réunion de septembre.

«Comme toujours, nous agirons de manière à soutenir l’expansion» économique, a déclaré Jerome Powell.

Le compte-rendu de la dernière réunion monétaire remarque une modération de certains des risques. Mais c’était avant que Trump ne relance la guerre commerciale.

Le président de la Fed pointe «la hausse des inégalités de revenus et la plus lente croissance de la productivité».