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Le CEO va céder d’ici l’année prochaine un million de titres, soit 140 millions de dollars, sur les 8,6 millions d’actions qu’il détient actuellement avec sa famille.

Les dirigeants des établissements américains, Jamie Dimon (JPMorgan) en tête, tempèrent les ardeurs en évoquant la forte inflation aux Etats-Unis et les tensions géopolitiques grandissantes.

Inflation galopante, confiance des consommateurs en berne, guerre en Ukraine, incertitude sur la politique de la Fed: les dangers pour la croissance sont multiples, ont reconnu les CEO, à l’instar de Jamie Dimon.

«Il y a deux ans on faisait face au COVID, à une grande récession, une pandémie mondiale, et tout ça est désormais derrière nous, ce qui est une bonne chose», résume Jamie Dimon (JPMorgan Chase).

Le CEO se voit offrir des «droits d’appréciation» sur 1,5 million d’actions de la banque. Ses éléments de rémunération se sont élevés à 31,5 millions de dollars en 2020.

Le comité d’action politique de la première banque du pays par actifs va arrêter pendant au moins six mois de verser toute contribution financière aux responsables républicains comme démocrates.

La société Haven, fondée pour créer un système alternatif commun de prise en charge des soins de santé pour leurs employés, va mettre un terme à ses opérations fin février 2021.

La banque a formalisé ses préconisations économique dans un document et les a directement transmises aux conseillers du futur locataire de la Maison Blanche.

«Les derniers mois ont étalé au grand jour une dure réalité, bien avant la pandémie, trop de monde vit à la limite du seuil de pauvreté», affirme le CEO de JPMorgan Chase.

La banque dirigée par Jamie Dimon provisionne 7 milliards pour parer aux potentiels défauts de paiements des clients affectés par le COVID-19.