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Les programmes de dépenses du président sont populaires auprès des Américains. Et une étude du cabinet Moody’s estimait à 1,5 million le nombre d’emplois que pourraient créer ces plans en dix ans.

Les réflexions sur la reconduction ou non du mandat de Jerome Powell sont «en cours depuis un moment», a indiqué le président US, soulignant qu’il y avait «beaucoup de bons» candidats.

Les chefs d’Etat de plus de cent pays abritant 85% des forêts mondiales, dont le Brésil, ont promis mardi d’enrayer leur dégradation et de restaurer ces «cathédrales de la nature».

Le vote pour approuver définitivement le projet historique d’investir 1200 milliards de dollars dans les infrastructures chancelantes américaines a été reporté sine die au Congrès.

Le président tente de rassembler les troupes Démocrates, embourbées dans une guerre fratricide autour de ses vastes projets d’investissements et de réformes.

Les enjeux sont si élevés que le président Démocrate a préféré annuler un déplacement pour rester à Washington et mener les négociations avec des élus-clés de son groupe.

L’adoption de ces deux plans, dont le montant cumulé avait initialement été annoncé à près de 5000 milliards de dollars, bute sur une bataille fratricide entre Démocrates.

Les démocrates doivent impérativement s’accorder s’ils veulent approuver le coeur du programme du président américain.

Les parlementaires démocrates peinent à accorder leurs violons sur l’adoption simultanée de lourdes dépenses d’infrastructures et de coûteuses mesures sociales ambitieuses.

«Nous allons devoir y travailler», a-t-il dit, aux côtés de Boris Johnson, en réponse à une question sur l’accord commercial que souhaitent ardemment conclure les Britanniques.