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L’Agence internationale de l’Energie demande aux pays producteurs de pétrole d’être «du bon côté».

Le cartel a maintenu pour l’instant sa prévision d’une hausse de 4,2 millions de barils par jour (mb/j) de la demande de brut cette année, qui devrait ainsi atteindre un total de 100,90 mb/j.

La facture pour les produits locaux a progressé de 0,1% sur un mois, mue par les prix des métaux, matières plastiques et de verre notamment.

«Les Emirats arabes unis estiment essentielle la stabilité des marchés énergétiques pour l’économie mondiale», a indiqué l’ambassadeur à Washington Youssef Al Otaïba.

L’indice afférent calculé par l’Office fédéral de la statistique (OFS) s’est enrobé de 0,6% en glissement mensuel pour atteindre 105,7 points. Sur un an, le renchérissement s’établi à 5,4%.

Glencore a reconduit pour 2022 ses objectifs de production, mais des adaptations pourront avoir lieu lors de la présentation du rapport de production du premier trimestre en avril.

Les industriels allemands ont également vu leurs coûts se renchérir de 5,0% sur un mois, comparé à novembre, également une hausse record, tirée par la poussée des prix de l’énergie et les pénuries de composants.

Les produits pharmaceutiques ont plutôt tiré les prix vers le bas. Le renchérissement s’est révélé plus marqué pour les produits importés (+5,1%) que pour ceux élaborés en Suisse (+1,6%).

Sur un an, les prix relevés à la frontière ont bondi de quasiment 11%.

Les trois installations de production que compte le nouveau site se destinent à servir les clients du secteur des transports, de la construction et des énergies renouvelables.