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La pandémie est peut-être sur le déclin en Occident, mais nous ne nous débarrasserons pas si vite de ses conséquences.

Les marchés des actions peinent à trouver une direction claire, en l’absence d’une dynamique conjoncturelle et en raison d’une politique monétaire plus restrictive. Et cette dernière n’est pas prête de changer.

Désormais, Raiffeisen est la première banque retail nationale à proposer un mandat de gestion de fortune qui doit générer un impact positif et tangible sur les plans écologique et sociétal.

Le passé n’est pas brillant et les perspectives à court terme demeurent incertaines. Reste à se concentrer sur le long terme. Investir n’est pas un sprint, mais un marathon.

Pendant que Warren Buffett achète des actions, le marché peine à trouver une direction nette. La crainte de nouvelles hausses des taux d’intérêt est justifiée, comme l’a récemment laissé entendre la Banque nationale Suisse.

Alors que le marché des biens immobiliers de luxe s’emballe et que les prix s’envolent, le marché des logements bon marché semble déserté.

La saison de publication des bénéfices touche lentement à sa fin. Les investisseurs se montrent nerveux au vue des élections de mi-mandat et des récents chiffres de l’inflation US, mais se ruent de nouveau sur l’or.

«Les cantons de Genève, Zurich et Zoug affichent des taux de logements locatifs vacants nettement inférieurs à 1%», indique Martin Neff, chef économiste de Raiffeisen Suisse.

Avec l’inflation qui vient d’enregistrer un nouveau recul en Suisse, on ne s’achemine pas du tout vers des taux d’intérêt beaucoup plus élevés.

Les investisseurs restent inquiets, même si en moyenne les chiffres des entreprises correspondent aux attentes. Les cours anticipent bon nombre de choses – mais pas tout. L’inflation et les taux accrus pèsent sur les marchés. Le mois de novembre démarre faiblement.