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La profusion a un effet d’abrutissement et fait perdre de vue l’essentiel. En Suisse, seule la pénurie d’électricité semble encore nous préoccuper. C’est encore pire sur le réseau mondial.

Les conditions ont fortement évolué depuis un an, entre hausse des taux, inflation, perspectives économiques maussades, incertitudes géopolitiques et tempête en Europe.

Le groupe dispose d’une importante capitalisation mais la rentabilité est moins forte, indique l’agence de notation.

L’indice d’activité PMI des petites et moyennes entreprises compilé par Raiffeisen a reculé en août à 50,6 points, contre encore 52,8 points le mois précédent.

Le produit de l’émission doit être utilisé pour élargir davantage le portefeuille axé sur les biens immobiliers durables.

Novartis prend les choses au sérieux et réjouit les investisseurs: au deuxième semestre 2023, il est prévu de scinder la division des génériques Sandoz pour une entrée en bourse. Par contre, la faiblesse persistante de l’euro est moins réjouissante.

Selon Heinz Huber, directeur de Raiffeisen, l’offre de logements demeurera restreinte. En outre, les taux restent attrayants dans une perspective de long terme.

Le monde du politiquement correct avec son indignation boursouflée ne connaît plus de limite. N’y aurait-il rien de plus important à faire?

Au premier semestre 2022, le bénéfice du groupe s’élève à 556 millions de francs (+10,1%).

L’économie mondiale continue de perdre en dynamique. La Fed va néanmoins poursuivre sa politique monétaire stricte, ce qui déçoit les investisseurs. Les marchés des actions s’essoufflent peu à peu.