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En 2017, la BCN a réalisé un résultat réjouissant dans un contexte économique incertain, notamment illustré par le maintien des taux négatifs.

La banque mutualiste française Réunion des Banques populaires et Caisses d’épargne, dirigée par François Pérol, enregistre un bénéfice net annuel de plus de 3 milliards d’euros.

Le bénéfice net de la banque a pâti de coûts liés aux acquisitions et d’un impact négatif de la réforme fiscale américaine. Le titre termine sur un recul.

Le résultat 2017 de la banque Monte dei Paschi di Siena se solde par un déficit de 3,5 milliards d’euros.

La croissance est venue principalement des activités de gestion, alors que les crédits affichent une progression modeste. Un résultat «solide» est attendu en 2018.

La GKB enregistre un bénéfice en hausse de 7%. Le conseil d’administration proposera un dividende en progression de deux francs à 40 francs.

Revenus locatifs, excédent d’exploitation (Ebit) et bénéfice net apuré de l’effet des revalorisations se sont inscrits dans le bas voire en deçà des projections des analystes. Les actionnaires se verront nonobstant proposer une rémunération stable de 10,00 francs par action au titre de 2017.

Les revenus ont baissé dans ses activités de banque de détail sous l’effet de taux d’intérêt très bas. Le titre clôture toutefois en nette hausse à Paris.

Pour la période de 2018 à 2020, l’établissement table sur un rendement des fonds propres de 7,5% à 10%.

Le bénéfice net s’est établi à 38,3 millions de francs, soit une chute de 16,2% sur un an. L’assemblée générale du 6 avril devra se prononcer sur un dividende inchangé de 1,80 franc.