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Vers 14h30, la livre gagnait 0,37% face au billet vert, à 1,2968 dollar, et se stabilisait à 90,72 pence pour un euro.

EY évalue à plus de 1’400 milliards de francs les actifs déjà transférés du Royaume-Uni vers l’Union européenne par 24 entreprises financières.

«Nos économies, des deux côtés de la Manche, sont sévèrement touchées par la pandémie et nous devons tout faire pour parvenir à un accord raisonnable», affirme la présidente de la Commission européenne.

«La position du Royaume-Uni est très éloignée de ce que l’UE peut accepter», a déclaré le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic.

La Haute Cour britannique juge que l’assureur n’est pas en charge de la couverture des interruptions d’activités d’entreprises suite au COVID-19.

Graphique de la semaine de DWS. Il reste peu de temps pour éviter des pertes économiques encore plus lourdes que celles causées par le vote du Brexit.

Vers 11h35, la devise britannique perdait 1% face au billet vert, à 1,3145 dollar. Face à l’euro, elle perdait 0,85%, à 89,90 pence.

Une intervention exceptionnelle de la politique monétaire et fiscale a atténué un choc initial sur la qualité des actifs et a renforcé la liquidité et la capitalisation des banques.

Le nombre de personnes employées a subi entre mars et juillet sa pire chute depuis la crise financière de 2009. Illustrant ce phénomène, Debenhams annonce la suppression de 2'500 emplois.

Il s’agit d’une forte augmentation par rapport aux 22% enregistrés lors du précédent sondage de Chartered Institute of Personnel and Development.