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Les banques centrales ont dû relever les taux d'intérêt de manière agressive, car elles avaient longtemps sous-estimé l'ampleur et la durée des pressions inflationnistes après la pandémie de Covid.

L'indice S&P 500 est officiellement en territoire de correction, les taux d'intérêt ont augmenté davantage que le marché ne l'escomptait. Mais il y a de bonnes raisons de penser que les marchés actions ne se dirigent pas vers un marché baissier.

Le vent est en train de tourner, les baisses de taux sont imminentes et le moment où elles interviendront pourrait être significatif.

Pour la zone euro et le Royaume-Uni, l’indice composite est passé sous la barre des 50, ce qui indique une contraction.

La zone euro et le Royaume-Uni peuvent-ils en faire de même?

Pour atteindre l'objectif d'inflation de 2%, les banques centrales des pays industrialisés devront peut-être entamer une récession.

La publication de données sur l’IPC et l’emploi d’ici au 26 juillet, date de la prochaine réunion du FOMC pour fixer les taux d’intérêt, déterminera la marche à suivre.

La croissance mondiale se maintient, les inquiétudes concernant le resserrement du crédit s'apaisent et un accord a été trouvé sur le plafond de la dette américaine.

Si les investisseurs en obligations d'État américaines ont connu une période difficile, leurs équivalents britanniques ont encore plus souffert.

Les données économiques s'améliorent en Europe et au Royaume-Uni – cette tendance pourrait se poursuivre pendant le reste de l'année.