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Tant les importations que les exportations se sont tassées au regard du record établi trois mois auparavant.

Pour la première fois depuis 2009, la Suisse ne figure qu'au 4e rang dans l’indice du WEF. En cause, une nouvelle méthodologie.

«La flexibilisation du temps de travail se fait au détriment de la conciliation entre la vie professionnelle et familiale», relève Gabriel Fischer, responsable de la politique économique chez Travail.Suisse.

Le poids de la Chine dans l’économie helvétique est surestimé, selon une recherche d'Avenir Suisse.

«Les étrangers qui s'établissent en Suisse attachent de l'importance à la stabilité du système», selon Jean-François Bunlon, responsable de marché pour les clients de HSBC Private Banking.

Selon un sondage de Credit Suisse et S-GE, plus de 60% des petites et moyennes entreprises s’attendent à une augmentation de l’export au quatrième trimestre 2018.

Avec 9692 inscriptions, le recul a atteint 3,1% en comparaison annuelle. Le cumul des trois premiers partiels débouche néanmoins toujours sur une tendance marginalement positive de 0,2%.

Pour l’année suivante en revanche, les attentes du rythme de croissance ont été revues légèrement à la baisse, à 1,8%, après 2,0%.

Au niveau mondial, la Suisse renforce son quatrième rang, selon le classement de Fraser et de l’Institut libéral.

A fin septembre, 106’586 personnes étaient inscrites auprès d’un Office régional de placement, en recul de 1,2%.