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La Première ministre britannique fait planer la menace d’un retour en arrière sur le Brexit si elle n’obtient pas de soutien.

Les démissions au sein du gouvernement jettent une ombre sur le projet d’accord sur le Brexit.

«Je ne peux soutenir l’accord proposé pour deux raisons, liées notamment au futur statut de l’Irlande du Nord après le Brexit», a-t-il expliqué.

«Il y aura un sommet extraordinaire pour finaliser et formaliser l’accord du Brexit. Il se tiendra le dimanche 25 novembre», a affirmé Donald Tusk.

Le courtier vaudois a récemment racheté la banque en ligne luxembourgeoise Internaxx et servira ses clients européens depuis le Grand-Duché, a indiqué le directeur général Marc Bürki.

Un accord a été trouvé au niveau technique mais il doit être encore validé au niveau politique à la fois côté britannique et côté européen.

La première ministre britannique a qualifié d’«immensément difficiles» ces discussions, et prévenu qu’elle n’accepterait pas un accord «à n’importe quel prix».

Un important sondage d’opinion indépendant révèle que 54% des personnes interrogées souhaitent désormais rester dans l’UE.

Un Brexit sans accord pourrait pousser le Royaume-Uni vers la récession et nuire à certaines notations de crédit, selon un rapport de S&P Global Ratings.

En cas de «no deal», les institutions financières européennes pourraient accéder temporairement aux chambres de compensation britanniques.