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La Première ministre britannique a reçu une fin de non-recevoir à Berlin lorsqu’Angela Merkel lui a confirmé qu’il n’était «pas possible de changer l’accord».

La Première ministre britannique réagit aux profondes divisions des parlementaires.

La devise britannique s’échangeait pour 1,2507 dollar vers 17h, son plus bas niveau depuis avril 2017.

Les entreprises qui disposent d’un rempart concurrentiel seront les mieux à même de faire face à un scénario du pire.

Le nombre d’investisseurs ayant l’intention d’augmenter leurs positions diminue de 21% à 15% au quatrième trimestre, selon l’indice Brexometer de State Street.

Les députés pourraient avoir le dernier mot sur l’éventuelle activation d’une disposition évitant le rétablissement de contrôles frontaliers sur l’île d’Irlande.

Les sociétés britanniques dont le revenu est principalement issu d’activités à l’intérieur du pays ont perdu 21% de leur rendement depuis le référendum.

Selon ces eurosceptiques, voire europhobes, cet accord est synonyme d’obligation de continuer à appliquer certaines réglementations dictées par Bruxelles.

Signe de l’extrême faiblesse de la Première ministre, son gouvernement a perdu un vote clé sur le Brexit, juste avant le début des débats devant durer cinq jours.

Le gouverneur adjoint Sam Woods annonçait il y a un an le départ de 10'000 postes. Il ramène maintenant ce chiffre à environ 4'000.