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A 100 jours du divorce, Bruxelles prend des mesures notamment dans les services financiers.

Un nouveau scrutin entraînerait des dégâts irréparables pour l’intégrité de notre vie politique, prévient la Première ministre britannique Theresa May.

Il existe encore chez les entreprises une inclination forte pour maintenir et développer leur présence au Royaume-Uni, selon la dernière enquête de State Street.

La première ministre espère obtenir dans les prochains jours des «clarifications supplémentaires» sur l’accord de sortie de l’UE.

En cas de sortie «non ordonnée», l’accord permet d’assurer la réplication de la majorité des accords commerciaux régissant actuellement les relations entre la Suisse et le Royaume-Uni.

Jean-Claude Juncker a jugé «assez inconcevable» qu’au Royaume-Uni on pense que c’est à l’UE de «proposer des réponses».

Theresa May continue désespérément d’arracher aux dirigeants européens des «assurances» sur l’accord de Brexit à même de contenter les députés britanniques.

Le président du Conseil européen, Donald Tusk, a assuré que les dirigeants des pays de l’UE voulaient «aider» Mme May, mais sans bien savoir comment.

Cette victoire signifie que les Tories ne pourront plus chercher à déloger la première ministre pendant un an. Mais sa courte majorité constitue également un camouflet.

La devise britannique valait 1,2579 dollar vers 14h30, contre 1,2487 dollar mardi soir, après être tombée dans la matinée à un nouveau plus bas depuis avril 2017.