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Aux Etats-Unis, l’indice PCE reflue à 5% en février sur un an, tandis qu’en zone euro le renchérissement poursuit sa décélération, à 6,9% sur un an en mars, grâce à une accalmie des tarifs de l’énergie.

L’indice de l’Université du Michigan a fortement baissé, à 62 points contre 67 en février, soit un recul de 7,5% sur un mois, alors que les analystes tablaient sur une baisse moins sévère, à 63,4 points.

Sur un mois seulement, la hausse des prix a également décéléré, à 0,3%, légèrement en dessous des attentes des analystes, qui prévoyaient 0,4%.

«Nous avons des outils pour faire baisser la demande en augmentant les taux d’intérêt afin de rétablir l’équilibre économique. Nous devons donc le faire», estime le président de la Fed de Minneapolis.

Le président suggère de se concentrer sur les établissements de taille intermédiaire, avec des actifs compris entre 100 et 250 milliards de dollars, ce qui était le cas de SVB et Signature Bank.

Dans une attaque à peine voilée contre l’ancien président Donald Trump, la secrétaire américaine au Trésor juge urgent de «finaliser les réformes» post-crise financière de 2008-2009.

Les logiciels du groupe genevois permettront de moderniser la plateforme bancaire actuelle de l’établissement local d’outre-Atlantique, dont l’identité reste confidentielle.

La Chambre des représentants auditionne le vice-président de la Réserve fédérale sur la plus grande banqueroute bancaire depuis 2008 aux Etats-Unis.

L’indice général du Conference Board s’établit désormais à 104,2 points, contre 103,4 points en février, alors que les analystes anticipaient un nouveau repli à 101,5 points.

«L’échec de SVB montre la nécessité d’aller de l’avant dans nos travaux pour améliorer la résilience du système bancaire», doit dire devant le Congrès le vice-président de la Fed chargé de la régulation bancaire.