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La coopération administrative avec Berlin en matière de concurrence était jusqu’ici informelle.

Sur un an, le PIB croît de 1,2%, en données corrigées des prix et effets de calendrier. Au deuxième trimestre, l’indicateur avait stagné, à 0,1%, selon une valeur révisée à la hausse par Destatis.

Cette légère hausse met fin à quatre mois consécutifs de baisse, qui ont entraîné le baromètre à son plus bas niveau historique en octobre, dont la valeur a été révisée à la baisse à -42,8 points.

Le bénéfice net part du groupe a atteint 1,1 milliard d’euros (1,09 milliard de francs), contre seulement 194 millions d’euros au troisième trimestre de l’an dernier.

L’équipe d’une quinzaine de collaborateurs chapeautés par Torsten Hein et Jörg Finck sera en charge du développement des activités de banque privée pour la région nord.

L’indicateur publié par l’institut ZEW a certes regagné 2,7 points sur un mois mais affiche un solde toujours largement négatif à -59,2, après trois mois de baisse d’affilée.

La première économie européenne s’efforce de réduire sa dépendance aux importations énergétiques russes

«Nous vivons actuellement une crise énergétique difficile, qui se transforme de plus en plus en crise économique», commente le ministre allemand de l’Economie Robert Habeck.

Le repli de 2,4% annoncé par Destatis signale un essoufflement du secteur face aux prix élevés de l’énergie dus à la guerre en Ukraine.

Au total, la première économie européenne a exporté pour 133,1 milliards d’euros de biens, en données corrigées des variations saisonnières et de calendrier.