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Le groupe bancaire basé à Amsterdam affiche un résultat net de 1,005 milliard d’euros sur les trois premiers mois de l’année, en hausse de 50% sur un an.

Malgré une augmentation sensible des charges liée au développement géographique, le groupe bancaire bernois a amélioré sa performance opérationnelle et son bénéfice net.

Le groupe français a publié jeudi un chiffre d’affaires de 3,917 milliards d’euros entre janvier et mars, en progression de 0,5% (+1,9% à périmètre et taux de change constants).

Le rachat de Bankia par CaixaBank a généré un «fonds de commerce négatif (badwill) de 4,3 milliards d’euros», ce qui explique l’importance du bénéfice net, précise CaixaBank.

 Cette croissance est due en grande partie à l’augmentation des paiements uniques, avec une montée de 130% par rapport à l’année précédente et qui, avec 45 millions de francs a atteint un nouveau record.

La banque de financement et d’investissement (BFI), qui avait plombé le premier trimestre 2020, a profité d’un environnement se normalisant et de fortes dynamiques de marché et termine avec un produit net bancaire en hausse de 54,2%.

Les résultats du premier trimestre sont les premiers présentés par le nouveau PDG de la banque, Andrea Orcel, 57 ans, qui en a pris les rênes à la mi-avril.

Les frais de recherche et développement ont englouti 15,5 millions, contre 17,2 million en 2019. Les dépenses générales et administratives ont par contre enflé de 13% à 4,2 millions.

PayPal a déclaré mercredi avoir réalisé le «meilleur premier trimestre de son histoire» et a revu à la hausse ses prévisions pour l’année.

Le bénéfice net grimpe de plus de 30% à 1,51 milliard d’euros, alors que le consensus tablait sur moins d’un milliard.