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Trois organisations s’allient pour harmoniser les définitions des approches d’investissement responsable, ce qui devrait permettre aux acteurs du marché de mieux se comprendre.

Les risques de surprise négative sont plus élevés l’année prochaine qu’ils ne l’étaient en 2023.

Etant donné le ralentissement graduel de l'économie américaine, nous nous attendons à ce que la Fed repousse les attentes du marché qui s’attend à voir plusieurs baisses de taux en 2024.

Dans le contexte du nouveau régime caractérisé par une plus grande volatilité, il est temps d'adopter une approche plus dynamique des portefeuilles.

Recul de l’inflation et stabilisation des taux directeurs, couplée à la consommation soutenue des ménages offrent une meilleure visibilité aux entreprises qui sont désormais en mesure d’ajuster leurs stocks après 4 années d’incertitudes. 

Les retards de remboursement des crédits à la consommation atteignent des niveaux significativement plus élevés qu’avant la crise Covid.

Face au ralentissement des hausses de prix, les banquiers centraux ont graduellement assoupli leurs discours sur l’inflation.

Certaines voix du marché spéculent sur des baisses de taux plus précoces que celles initialement prévues pour le second semestre 2024.

Compte tenu de la croissance économique morose et de l'inflation en demi-teinte, la BNS donnera probablement la priorité à l'intervention sur le marché des changes plutôt qu'à la hausse des taux d'intérêt.

Je n’avais pas tout à fait tort lorsque j’affirmais que 2023 serait l’année des emprunts obligataires.