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«Ces deux instruments demeurent essentiels dans l’environnement actuel pour assurer que les conditions monétaires sont adéquates», déclarent Andréa Maechler (photo) et Thomas Moser.

Cette double nomination des présidents de Julius Baer (photo) et d’économiesuisse intervient en raison du départ de deux membres du Conseil de banque de la BNS fin avril.

Le Conseil fédéral est chargé d’établir un rapport indiquant comment la BNS peut soutenir la Confédération dans la réalisation de ses objectifs de développement durable.

L'institut d'émission présente un bénéfice de 15,1 milliards de francs sur les neuf premiers mois de l'année, enregistré notamment grâce à la plus-value réalisée sur le stock d'or.

L’ex-directeur de la Banque nationale suisse est actuellement vice-président de la banque BlackRock.

Le Vaudois avait présidé l’institut d’émission de 1985 à 1988, après une longue carrière dans la diplomatie consacrée à l’intégration économique de la Suisse à l’Europe.

«La crise du COVID-19 a montré à quel point l’approvisionnement de l’économie en crédits est important», a souligné le président de la BNS au Lugano Banking Day.

La reprise des marchés au troisième trimestre et la hausse du cours de l’or ont permis cette embellie, selon les économistes d’UBS.

Les niveaux atteints en 2020 devraient dépasser très largement les interventions réalisées par le passé.

Tout en maintenant sa politique monétaire inchangée, la BNS table désormais sur un PIB en baisse de 5% cette année, contre -6% auparavant.