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Les partisans de l’initiative nous promettent un système financier plus stable. Les trois arguments de Jean-Pierre Roth pour justifier son rejet.

Les recettes se sont hissées à 661,7 milliards, alors que les dépenses se sont montées à 546,2 milliards, a indiqué jeudi la Banque nationale suisse (BNS).

Le directeur de la Banque nationale suisse s’exprimait lors de la cérémonie de remise des prix de la Fondation de Vigier 2018.

Le directeur de la BNS a assuré au Tages-Anzeiger que cette fragilité est prise en compte.

La Banque nationale suisse n’a pas les connaissances nécessaires pour décider dans quels domaines elle accorderait des crédits, selon Thomas Jordan.

Le vice-président de la BNS voit toutefois une tendance claire à faiblir pour la devise suisse. Mais il subsiste des risques à moyen terme.

Elles sont passées de 737,60 milliards de francs fin mars à 757,10 milliards fin avril.

Président du conseil de banque, Jean Studer a pris soin de rappeler que contrairement aux autres entreprises, les bénéfices dégagés par la BNS ne mesurent pas le niveau de succès avec lequel l’institution accomplit ses tâches.

Le président du conseil de banque Jean Studer précise que les bénéfices dégagés par la BNS ne mesurent pas le niveau de succès avec lequel l’institution accomplit ses tâches.

«Le principal moteur de la baisse du franc, en ce moment, c’est la hausse de l’euro», explique l'ancien responsable des réserves de changes de la BNS, Thomas Stücki dans une interview parue dans Le Temps.